Un conte si triste et si joliment illustré


A la fin, nous entendrons Ich bin der Welt abhanden gekommen (« Je suis perdu pour le monde »), un des plus sublimes lieder composés par Mahler. La voix extatique célèbre la certitude paisible de la mort et, répété deux fois, le dernier vers du poème, « In meinem Lieben, in meinem Lied ».

DA UNA CASA DI MORTI. Come spesso accade infatti, all’attenzione per la versione originale della partitura non corrisponde una analoga attenzione verso il libretto, oggetto come in questo caso di interpretazioni molto libere.Come spesso accade infatti, all’attenzione per la versione originale della partitura non corrisponde una analoga attenzione verso il libretto, oggetto come in questo caso di interpretazioni molto libere.


Brenda Rae : Mais quel magnifique legato, quel phrasé, quelle maîtrise de la dynamique et quels ravissants pianissimi !

Notre souvenir de 2005, intense, reste intact. La grande Waltraud Meier, de noir vêtue, isolée sur l’immense scène nue de l’Opéra Bastille, fragile et forte à la fois, devant les imposantes projections d’images élaborées par Bill Viola, vrai maître du jeu de cette esthétique, par ailleurs minimaliste.

Malheureusement, les maisons d’opéra contemporaines préfèrent écouter des wokistes et des metteurs en scène détraqués par l’égocentrisme.

Jadis et naguère, sopranos et ténors, barytons, basses et mezzo proposaient à leurs fans un disque témoignage de leur répertoire.

A ce propos, j’ai une théorie : les yeux doivent ouvrir les oreilles, les yeux doivent multiplier ce que les oreilles entendent. Quand ça se passe mal : les yeux ferment les oreilles.