Jadis et naguère, sopranos et ténors, barytons, basses et mezzo proposaient à leurs fans un disque témoignage de leur répertoire.

Jadis et naguère, sopranos et ténors, barytons, basses et mezzo proposaient à leurs fans un disque témoignage de leur répertoire.
A ce propos, j’ai une théorie : les yeux doivent ouvrir les oreilles, les yeux doivent multiplier ce que les oreilles entendent. Quand ça se passe mal : les yeux ferment les oreilles.
Il faut dire que Véronique Gens transcende le rôle d’Armide, dans lequel elle semble se draper sans effort, en dépit de ses difficultés et de sa longueur.
Malgré une intrigue privée de rebondissements dans les dernières scènes, le final revivifie. « Dansats, sautats, trémoussats bous » : ce revival Mondonville est décidément bien festif.