Il faut dire que Véronique Gens transcende le rôle d’Armide, dans lequel elle semble se draper sans effort, en dépit de ses difficultés et de sa longueur.


Il faut dire que Véronique Gens transcende le rôle d’Armide, dans lequel elle semble se draper sans effort, en dépit de ses difficultés et de sa longueur.


Malgré une intrigue privée de rebondissements dans les dernières scènes, le final revivifie. « Dansats, sautats, trémoussats bous » : ce revival Mondonville est décidément bien festif.





